« L’énergie est une dépense contrainte : notre seule marge de manœuvre est d’en optimiser la consommation et d’améliorer les pratiques. Réduire les coûts est un objectif que nous partageons avec la direction de la maîtrise de l’énergie », explique Baudoin Ruyssen, directeur général adjoint (DGA) chargé du pôle « gestion » à la ville de Besançon (121 400 hab., Doubs).
« Une hausse de 350 000 euros de dépenses d’énergie, c’est 0,5 point de fiscalité supplémentaire », ajoute Myriam Normand, directrice de la maîtrise de l’énergie.
Chauffage et éclairage urbain – Si la ville a des lignes budgétaires bien identifiées pour permettre des investissements lourds comme les chaufferies ou l’entretien du patrimoine, elle a aussi une enveloppe spécifique, d’un montant annuel de 450 000 ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés
Régions