Comme souvent après une affaire de maltraitance, les services de la protection de l’enfance sont montrés du doigt. L’affaire de la fillette de 6 ans, déposée dans le coma aux urgences de Bourges fin décembre alors qu’un placement avait été demandé depuis octobre, ne fait pas exception.
Dans un entretien avec La Gazette des communes, Martine Brousse, la présidente de la Voix de l’Enfant disait :
J’imagine que ce n’est pas évident pour les travailleurs sociaux mais il vaut mieux une mise à l’abri d’un mois, un mois et demi plutôt que d’attendre que l’enquête soit finie, avec le risque qu’un drame se produise.
- Enfant torturée dans le Cher : la Voix de l’Enfant veut comprendre les dysfonctionnements
L’association, qui s’est portée partie civile ...
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