« Un cri d’alarme » du côté de l’Unicef, une appréciation « en demi-teinte » du côté du défenseur des droits quand il s’agit d’évaluer l’application effective de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) en France, ratifiée en 1990. Le ton n’est pas le même, mais, sur le fond, les deux rapports distincts, rendus publics ce mardi 9 juin 2015, – dits « alternatifs » car venant en contrepoint de ceux du gouvernement dans le cadre de l’examen du cas de la France par le Comité des droits de l’enfant de l’ONU – sont clairement critiques. Ils pointent les mêmes publics n’ayant pas accès à leurs droits fondamentaux : les enfants pauvres, les enfants handicapés ou étrangers, notamment roms.
Inégalités territoriales
Le rapport du défenseur des droits avance 128 recommandations, celui de l’Unicef, 36. Pas moins ! Au-delà de la désignation de publics à accompagner en urgence, ils dénoncent des inégalités ...
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