Des postes ouverts, mais pas de candidats ! Alors qu’elles trouvent un intérêt pédagogique, éducatif et territorial à l’accueil de délinquants pour remplir des travaux d’intérêt général (TIG), bon nombre de collectivités affirment que la Justice ne leur en envoie plus, ou très peu. Pourtant, elles sont toujours aussi nombreuses à accepter qu’un auteur accomplisse sa peine sous forme d’un certain nombre d’heures de travail non rémunérées dans l’un de leurs services. Les organismes publics et les associations peuvent également proposer un TIG, qui peut être prononcé en temps que peine principale, alternative ou complémentaire.
À l’échelle nationale, le nombre de places de TIG est pourtant passé de 26 000 à 35 000 places entre 2021 et 2023, « mais quand on vous fait choisir entre TIG et ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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