La vidéosurveillance algorithmique, destinée à protéger les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, est entrée dans sa phase de rodage, à un peu plus de deux mois du début du grand événement sportif.
En effet, si les logiciels fournis par les sociétés Wintics, Videtics et ChapsVision sont censés être prêts à l’emploi, ils doivent être correctement paramétrés. Il s’agit par exemple, pour la détection des intrusions dans une zone, de définir l’espace à ne pas franchir caméra par caméra. Outre cette détection des intrusions, l’utilisation de cette technologie controversée lors des olympiades sera limitée à la détection d’objets abandonnés, d’armes, d’une circulation à sens inverse, le franchissement ou la présence dans une zone interdite, d’une personne au sol, d’un mouvement de ...
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