L’un des objectifs était le retour à l’emploi, par le biais du RSA-activité (complément de revenus). Bilan : un ralentissement de la montée en charge du début et des effectifs inférieurs aux estimations.
De nombreuses personnes ignorent qu’elles pourraient en bénéficier. Or, 85 % de ces « non-recourants » au RSA-activité vivent en dessous du seuil de pauvreté. « Il n’y a pas assez de campagnes d’informations », selon Martin Hirsch, fondateur du RSA.
« La campagne menée avec la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) dans toutes les mairies a donné des résultats, mais ils ne sont pas suffisants », estime aussi Marc-Philippe Daubresse, ancien ministre de la Jeunesse et des solidarités actives.
Mais certains n’y recourent pas non plus par crainte d’être ...
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Rapport final, Comité d'évaluation du RSA, décembre 2011