Dans la commune de Ribécourt-Dreslincourt (17 agents, 3 700 hab. ; Oise), ce n’est pas le directeur général des services, Nicolas Gérault, qui se plaindra de l’action des représentants syndicaux. Et, ce pour une bonne raison : la collectivité n’en compte plus. Résultat, le responsable est en prise directe avec le personnel sans pour autant arriver toujours à avoir un retour de leur part.
Une relation qualifiée de « frustrante » par l’intéressé. Difficile en effet de lier la gestion aux problématiques de terrain sans le filtre parfois facilitant de la représentation syndicale.
- Les représentants syndicaux, des agents toujours pas comme les autres
Pour Jack Bernon, consultant en santé, qualité de vie au travail et dialogue social, la loi de transformation de la fonction publique, qui a ...
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Gazette des Communes