[Saint-Sulpice-la-Pointe, Tarn, 195 agents, 9 500 hab.] « Définir les conditions de travail de demain avec et pour les agents » est l’ambition d’Alaric Berlureau, directeur général des services (DGS) de Saint-Sulpice-la-Pointe. Accompagnée par le cabinet Exaeco, dont l’animation en mode « intelligence collective » est la spécialité, la commune a engagé sa transition managériale en octobre 2021.
A partir d’une enquête réalisée auprès des agents, ces derniers ont eux-mêmes défini les sujets prioritaires à confier à des groupes de travail participatifs. Un premier groupe a abouti à la rédaction d’une charte du bien travailler-ensemble. « La commande était de nous pencher sur la relation hiérarchique, mais nous avons souhaité que cette charte traite aussi des relations entre agents, entre élus et agents, et entre habitants et agents », indique William Chevre, directeur d’un accueil périscolaire, participant au groupe « charte ». Avec les autres contributeurs, il a été formé comme « facilitateur » pour organiser des ateliers auprès des agents et recueillir leurs propositions.
Sens des responsabilités
D’autres groupes ont permis de faire évoluer la charte du télétravail et de réfléchir à la manière de mieux communiquer en interne, à travers notamment l’élaboration d’un journal réalisé par les agents.
« Ce qui est intéressant est que nous réfléchissons ensemble, sans
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