Qu’est-ce qui vous marque dans l’évolution du statut de la fonction publique depuis votre arrivée à la présidence du SNDGCT ?
Ce qui me marque, c’est à la fois sa force, sa pérennité et son adaptabilité. Depuis une vingtaine d’années, il y a eu une volonté d’assouplir et une volonté de stabiliser des emplois. Toute la CDIsation, par exemple – souvenons-nous qu’on avait des vacataires en permanence, des gens qui rentraient et qui partaient à la retraite sans jamais avoir été fonctionnaires – a consisté à rapprocher un certain nombre d’agents du statut de fonctionnaires. Et en même temps, avec la loi de transformation de la fonction publiqu, on favorise le contrat. Il y a donc, en quelque sorte, un mouvement contradictoire qui, d’un côté veut stabiliser un ...
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Gazette des Communes