Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club RH

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club RH

PROTECTION SOCIALE COMPLÉMENTAIRE

Protection sociale complémentaire : un vote sur le fil du rasoir

Publié le 17/02/2022 • Par Emeline Le Naour • dans : A la une, A la Une RH, France, Toute l'actu RH

©Jérôme Rommé - stock.adobe.com
Le projet de décret portant sur la protection sociale complémentaire des agents territoriaux a reçu, de justesse, un avis favorable lors du Conseil supérieur du 16 février. Sur le fond, les syndicats dénoncent un calendrier imposé par le gouvernement et des dispositions toujours aussi "indigentes" que les moutures précédentes. En coulisses, les employeurs ont assuré la continuité des négociations après publication du texte.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Le timing souhaité par le gouvernement aura été respecté. À la demande de la ministre de la transformation et de la fonction publiques, le projet de décret relatif à la couverture minimale des risques santé et prévoyance en matière de PSC dans la fonction publique territoriale a fini, après de nombreux rebondissements, par être examiné pour avis lors du CSFPT du 16 février, dont la séance aura durée près de huit heures …

Une durée de débats inespérée alors que les syndicats avaient envisagé, un temps, un nouveau boycott de séance comme ce fut le cas lors du CSFPT de décembre pour dénoncer la cadence imposée par le ministère.

Le projet de texte présenté contenait déjà quelques évolutions notables par rapport à la première mouture. Il prévoyait notamment la hausse à hauteur de 7 euros ...

[90% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Gazette des Communes

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité

Je m’abonne

Cet article est en relation avec le dossier

1 Réagir à cet article
Prochain Webinaire

Usine 4.0, rénovation énergétique et smart city: l’indispensable partenariat industriel-collectivité

de Territoires & Industrie

--
jours
--
heures
--
minutes
marche online

Aujourd'hui sur le Club RH

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Protection sociale complémentaire : un vote sur le fil du rasoir

Votre e-mail ne sera pas publié

HERMES

18/02/2022 09h35

Une fois encore, la territoriale reste le parent pauvre!
Le plus étonnant est que les élus unanimement saluent la qualité de leurs collaborateurs, reconnaissent la « faiblesse » des rémunérations (pas tous), s’accordent pour dire que les entreprises ne font pas assez d’efforts pour doter leurs collaborateurs de revenus convenables… et ils finissent par faire au moins aussi mal que ces derniers.

A n’y rien comprendre!

Quant au maintien du pouvoir d’achat avec le GVT, de qui se moque-t-on?
Je citerai le cas d’un agent que je connais bien, dans une collectivité autre que la mienne. Grâce à l’évolution de sa carrière depuis le début des années 1980, son salaire a progressé de manière notable. Mais si on tient compte de l’inflation, son salaire n’a plus que modestement progressé (entre 10% et 15% en quarante ans soit nettement moins que le SMIC)… et je ne parle pas des primes!

En effet, dans un premier temps, elles ont suivi l’évolution de l’indice mais il y a plus de vingt ans, cette croissance a été stoppée. Enfin, il y a six ans, le montant des primes a baissé de plus de 10%, sans aucune explication. J’en arrive à m’interroger sur les propos des collectivités qui crient quand le Gouvernement prend à leur encontre des mesures sans les consulter… et ces dernières peuvent se livrer à la même méthode.
Après cela, on s’étonne que des agents soient moins motivés…

Il va de soi qu’en tant qu’agent d’une collectivité locale je ne porterai jamais des propos désagréables sur les décisions des élus qui gèrent la collectivité dans laquelle je suis car même si parfois j’ai des difficultés à comprendre les raisons de ces choix, je reste respectueux de mon obligation de réserve.

Commenter

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur, Nanterre B 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club RH

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement