En passant de 270 à 400 postes en deux ans, notamment suite au Grenelle de lutte contre les violences conjugales, les intervenantes sociales dans les commissariats et les gendarmeries ont bien conscience d’être à un tournant de leur profession, imaginée il y a 30 ans.
Bien que sept départements et collectivités – comme la Corse et le Val-de-Marne – sont encore dépourvus de ces postes, leur implantation, largement encouragé par le ministère de l’Intérieur, progresse sur le terrain. Intégré dans la nouvelle stratégie nationale de prévention de la délinquance, l’objectif est d’au minimum disposer de deux intervenants sociaux par département.
- Confinement : les intervenants sociaux en commissariat font leur bilan
Certes encore très hétérogène dans ses recrutements, rémunérations, leur travail au contact de personnes en détresse – pas uniquement des victimes dans le champ pénal – gagne déjà en reconnaissance. Mais les défis sont de taille au regard du rythme de création de postes des deux années quasiment écoulées, surtout portés par des associations (comme France Victimes ou les CIDFF) aux salaires plus faibles.
Bientôt une refonte ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profite
Thèmes abordés
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés