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Social

RSA : réinsérer grâce à des contrats aidés rémunérés d’un jour par semaine

Publié le 15/09/2011 • Par avec l'AFP Agathe Vovard • dans : A la une, Actu expert santé social, France

Plus question de travail non rémunéré imposé aux chômeurs, dans la disposition phare du rapport du député (UMP) Marc-Philippe Daubresse sur le renforcement du volet insertion du Revenu de solidarité active remis mercredi 14 septembre 2011… mais toujours des sanctions en cas de refus.

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Avec sa proposition d’instaurer un contrat unique d’insertion (CUI) de 7 heures par semaine pour 150 000 bénéficiaires du RSA, l’ancien ministre des Solidarités actives, qui cherche manifestement une voie plus consensuelle après la polémique née des propositions de Laurent Wauquiez en mai dernier, s’attire cependant encore les foudres. « On ne peut accepter cette stigmatisation permanente. Il est insupportable que ces personnes soient considérées comme se maintenant avec complaisance dans leur situation », s’insurge notamment Yves Daudigny, président du conseil général de l’Aisne et président de la commission des affaires sociales de l’Assemblée des départements de France (ADF).

Un décret simple – « Seul le tiers environ de ...

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RSA : réinsérer grâce à des contrats aidés rémunérés d’un jour par semaine

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ALIMAS

16/09/2011 07h56

(09A347A01). C’EST CE QUI S’APPELLE CONJUGUER : SOLIDARITÉ, ÉQUITÉ ET RÉCIPROCITÉ ! Votre blog pouvant être aussi «Thing Tank», je profite de cette actualité pour vous faire savoir mon opinion sur l’association d’idées que m’inspirent les termes précités. J’ai l’intime conviction que l’on doit aujourd’hui reconsidérer la finalité des stages de formation d’un stagiaire (tel qu’un étudiant) pendant sa période scolaire ou d’activité réduite d’un chômeur pendant la période d’indemnisation du (RSA). Il me semble que l’on pourrait partager ou valoriser en deux parties, la durée effective effectuée par le stagiaire ou le chômeur en activité réduite :
1). Une partie (à définir) serait considérée comme un «travail bénévole» (c’est-à-dire non indemnisé pécuniairement). Cette partie serait néanmoins comptabilisée en terme de RÉCIPROCITÉ, mis en capital (pouvant être bonifié) pour les accidents futur de sa vie active (tel que pour exemple le chômage), dans un compteur que l’on pourrait désigner (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social. Ce comptage pourrait se faire dans le cadre du (SCV) : Service Civil Volontaire. Aujourd’hui, des millions de personnes cherchent du travail pour gagner de quoi vivre ! Et dans le même temps, des centaines de milliers de stagiaires ou de bénévoles associatifs s’enorgueillissent de travailler pour rien ? Il est vital de créer des dispositifs et des structures en capacité de relancer les chômeurs.
2). Une autre partie (à définir) serait considérée comme du temps devant être rémunéré ou indemnisé au stagiaire ou travailleur en activité réduite.

(09A347A02). IL FAUDRAIT DONNER AUX ASSOCIATIONS DES COMPÉTENCES DE FORMATION. Voilà quelques commentaires ou je fais passer cette idée de formation des personnes stagiaires ou au chômage partiel, total ou en activité réduite, par les associations privées et/ou entreprises et administrations publiques. Au lieu d’embaucher des centaines de milliers de fonctionnaires, ces dernières pourraient employer des centaines de milliers de personnes pendant leur temps de formation scolaire ou pendant leur temps de formation permanente en activité réduite. Voilà un secteur d’apprentissage ou ceux qui ont bénéficié de solidarité publique pendant leur période de formation scolaire ou permanente, ou pendant leur période de chômage total, partiel ou activité réduite, devraient par réciprocité, consacrer en tout ou partie du temps, à disposition des associations et services publics. Voilà de nombreux articles ou je parle de (DECITEMPS) : DÉCIsion de consacrer du TEMPs Social, pour le service public ou associatif que l’on pourrait nommer je (SERS) : Solidarité, Équité et Réciprocité Sociale. Le Dispositif (SCV) : Service Civil Volontaire devrait aider financièrement ces associations. Cela leur attribuerait des compétences et des capacités d’emplois.

(09A347A03). SI UN DISPOSITIF DE TYPE JE (SERS) AVAIT EXISTÉ, LORS DE LA CANICULE EN 2003 ! L’administration hospitalière aurait dû vouloir, savoir et pouvoir engager des personnes sur la base du volontariat adossé aux droits et devoirs de je (SERS). L’absence d’un dispositif je (SERS) fût catastrophique (plus de 15.000 décès en 7 jours (2003) auxquels ont été rajoutés plus de 7.000 décès en 2004 par rapport à 2002). En 2003, j’ai été personnellement refoulé des urgences ou je m’étais présenté spontanément pour aider le personnel. Raison invoquée : Je n’étais pas statutairement habilité à travailler dans un milieu hospitalier. Nombre de chômeurs, préalablement formés pendant ou avant leur période de chômage ou activité réduite, auraient pût être appelé à assister, accompagner, aider les personnes fragiles, dans les tâches quotidiennes. Ils auraient pût agir volontairement et être indemnisés en fonction de leur disponibilité et de leurs droits et devoirs de je (SERS), comptabilisés par les (ASSEDIC) à partir d’une unité de compte qui aurait pût être le (DECITEMPS). Ce (DECITEMPS) serait le capital de départ (par exemple pendant le (SCV) : Service Civil Volontaire, qui permettrait d’ouvrir un compte je (SERS), pour la vie durant, adossé au dossier de sécurité sociale.

Famille radié du RSA SOCLE

21/01/2013 09h46

Bonjour,

Nous soutenons une pétition d’une famille victime d’une radiation RSA.

Prenez connaissance de cette pétition RSA : Non aux souffrances des
allocataires RSA

http://www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2013N34650

Diffusez cette pétition autour de vous

Merci

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