Mieux former les élus locaux et les professionnels. Telle est la priorité du plan national de prévention de la radicalisation que le rapport sur la prévention de la radicalisation dans les services publics, présenté le 26 juin, réitère dans ses préconisations.
Pour ce faire, les élus font parfois le choix de se tourner vers des structures privées. Le cabinet Convivencia fait partie des opérateurs experts sur la question de la radicalisation. L’organisme a bénéficié d’un appel d’offre lancé par le Comité-interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR). Il intervient ainsi dans le cadre de journées dédiées proposées par le CIPDR, mais aussi directement auprès des élus et des agents territoriaux avec des formations spécifiques. L’objectif : comprendre le processus de radicalisation pour pouvoir le prévenir. Explications avec son président Victor Grezes.
A quels besoins concrets répondez-vous ?
L’idée est de dépassionner le débat, d’aborder ces questions de façon sereine et apaisée. Pour cela, nous nous appuyons sur le droit, sur les travaux de chercheurs, de psychologues, de praticiens, et sur l’expertise de nos consultants et formateurs en interne ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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