« Pour verbaliser au quotidien et ĂŞtre plus actif, nous allons lancer un changement de l’organisation de notre police », affirme Emmanuel Macron dimanche 15 octobre sur TFI et LCI. InterrogĂ© sur la rĂ©pression du harcèlement de rue, le prĂ©sident de la RĂ©publique estime ainsi nĂ©cessaire « d’en passer par la loi ».
Il prĂ©cise que la police de sĂ©curitĂ© du quotidien, qui doit ĂŞtre expĂ©rimentĂ©e Ă partir de dĂ©but 2018, « aura dans ses prioritĂ©s la lutte contre le harcèlement, en particulier dans les transports ». Il souhaite Ă©galement mettre en Ĺ“uvre « une procĂ©dure simple de verbalisation lorsque de tels actes sont commis pour qu’il y ait une rĂ©ponse immĂ©diate ».
« Grande loi citoyenne »
Ces diffĂ©rents points devront ĂŞtre dĂ©veloppĂ©s dans un projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles prĂ©sentĂ© en 2018. Il s’agira d’une « grande loi citoyenne » qui sera construite avec celles et ceux qui participeront aux « ateliers du tour de France de l’égalitĂ© entre les femmes et les hommes » lancĂ©s dĂ©but octobre, prĂ©cise la secrĂ©taire d’État Ă l’Ă©galitĂ© entre les femmes et les hommes, dans un entretien accordĂ© Ă La Croix.
InvitĂ©e de RTL lundi 16 octobre, Marlène Schiappa rappelle que « le harcèlement de rue n’est pas caractĂ©risĂ© dans la loi ». « Vous avez d’un ...
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