Une centaine d’intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie se sont réunis mercredi 11 octobre au ministère de l’Intérieur à Paris pour faire le bilan de ce dispositif mis en place dans les années 1990 et surtout imaginer l’avenir.
Manque de financement, statut précaire, isolement… Pour la présidente de l’ANISCG (Association nationale des intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie), Pascale Dubois, la pérennité des intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie constitue un « combat au quotidien ».
Pourquoi avoir organisé une journée nationale de réflexion sur l’avenir du dispositif des intervenants sociaux en commissariat ?
Le dispositif existe depuis les années 1990, mais l’association nationale des ...
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