« L’État ne vous abandonnera jamais, ni ne se soustraira à son devoir de clarté et de compassion. » Par ces mots, le président de la République a voulu rassurer les victimes de l’attentat du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts et plus de 460 blessés sur la Promenade des Anglais, à Nice. Un an plus tard et alors que les associations de victimes ne cachent pas leurs inquiétudes concernant la réorganisation de la politique d’aide aux victimes, Emmanuel Macron a affirmé que tout serait fait pour « regagner leur confiance ».
« L’exemple de dignité et de courage que vous avez donné ne peut pas, ne doit pas se heurter à la froideur bureaucratique. C’est pourquoi je sais le travail qui a été fait durant les deux dernières années pour reconnaître les situations des victimes, le droit des victimes », a-t-il souligné. Et d’ajouter : « Je le sais, c’est d’une aide juridique, concrète, administrative, mais aussi d’une aide pour la santé, le transport, les enfants, la vie administrative et le quotidien dont vous avez besoin. C’est cela qui sera assuré pour vous ...
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