A la rentrée, le ministère de l’Education nationale annonçait la tenue d’exercices « attentat-intrusion » dans les écoles pour prévenir un risque terroriste, les établissements faisant l’objet de menaces directes. Il demandait la mise à jour d’un plan particulier de mise en sûreté, habituellement élaboré pour des risques naturels et technologiques, comme un séisme ou un accident nucléaire. Selon des données relevées par la Rue de Grenelle, 88 % des écoles et 95 % des collèges et lycées l’ont déjà actualisé.
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