Quelques jours après leur « cri de colère » diffusé au travers d’une « lettre ouverte » au Premier ministre, les syndicats de la police municipale de Nice ont pris leur distance ce lundi 25 juillet avec les accusations proférées la veille par leur collègue cosignataire du Syndicat autonome de la FPT, Sandra Bertin, contre le ministre de l’Intérieur.
Depuis ce week-end, cette chef de service de la police municipale de Nice, responsable du centre de supervision urbain niçois, a fait monter d’un cran la tension déjà vive qui oppose depuis l’attentat du 14 juillet la municipalité de Nice, incarnée par son premier-adjoint, Christian Estrosi, et le gouvernement, sur les moyens policiers engagés le soir du drame.
Les accusations – Selon Sandra Bertin, un membre du cabinet du ministre de l’Intérieur aurait exercé de multiples « pressions », l’enjoignant à modifier son rapport sur l’attentat perpétré par Mohamed Lahouaiej Bouhlel, notamment concernant la position des policiers nationaux ...
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