Face à l’envolée des dépenses sociales, les conseils généraux recherchent des marges de manœuvre sur un sujet tabou. Leurs stratégies s’aiguisent.
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La pression n’a jamais été aussi forte et les marges de manœuvre aussi étroites. Les allocations individuelles de solidarité ont explosé. Les dépenses sociales atteignent aujourd’hui 50 % des dépenses de fonctionnement des conseils généraux (hors personnel).
En 2012, le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation personnalisée d’autonomie pour les personnes âgées (APA) et la prestation de compensation du handicap ont représenté la moitié de ces dépenses d’action sociale, soit 15 milliards d’euros… Contre 9 milliards en 2004 ! Des dépenses à l’augmentation mécanique sur lesquelles les départements n’ont pas la main.
Patrice Raud, directeur des solidarités de la Drôme (484 700 hab.), fait le décompte : « Nous ne pouvons réellement intervenir que sur 20 % du budget total, une fois ...
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Action sociale : contraints à la dépense, les départements réagissent
pierre47
11/06/2013 08h10
il me semble évident que les personnes âgées devraient être soignées a domicile,cela serait mieux pour tout le monde y compris pour les personnes âgées elles-mêmes.
D’autre part les aides devraient tenir compte des ressources de la personne en question car il y a des personnes âgées qui ont de bons revenus et meme supérieurs a ceux qui travaillent.
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