Paris serait-elle la seule ville française menacée par des attentats terroristes ? Ou bien d’autres cibles stratégiques existent-elles également en province ? Ne souhaitant prendre aucun risque, le ministère de l’Intérieur poursuit l’adaptation de la réponse publique au renouveau du contexte terroriste, comme il avait commencé à le faire avec l’implantation de nouvelles antennes régionales du GIGN.
S’exprimant devant un parterre de policiers des brigades anti-criminalité (BAC) à Paris, lundi 29 février, Bernard Cazeneuve a cette fois-ci précisé son intention d’apporter des moyens supplémentaires – notamment des fusils d’assaut – aux BAC et aux pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), dont la formation sera également renforcée. L’idée du « plan BAC-PSIG 2016 », dévoilée en fin de semaine par le Figaro, avait déjà été annoncée en janvier dernier avant d’être affinée par les services de l’Intérieur.
Articulation police / gendarmerie
L’objectif de la place ...
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