Complémentarité et humilité. Les représentants des trois collectivités présents lors de cette table-ronde ont tous reconnus l’importance de ces deux notions, véritables pré-requis au succès de l’implantation de la médiation sociale.
« Le médiateur n’a rien à offrir, si ce n’est une écoute et être force de proposition, a rappelé Emilie Aznar, coordonnatrice du conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) de Valenciennes. « Ils se glissent dans les interstices ». Il faut donc combattre tout a priori de concurrence, a insisté Philippe Blet, président de la communauté d’agglomération du Cap Calaisis.
Aussi, c’est progressivement, « humblement » que ce nouvel interlocuteur s’installe sur le terrain, en apportant aux autres protagonistes la connaissance et ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteCet article fait partie du Compte-rendu
La médiation sociale : un acteur au service de la tranquillité publique
Sommaire du dossier
- Les médiateurs sociaux appelés à inscrire leur action dans les schémas de tranquillité publique
- A Lille, l’échange d’information permet « l’action en cohérence »
- La médiation sociale trouve sa place dans le Nord-Pas-de-Calais
- « Le médiateur social a pour vocation de recréer le lien social là où il disparaît. » – Laurent Giraud, France médiation
Comptes-rendus des rencontres d'actualité prévention-sécurité • Accueil du dossier