Des fusillades, dont certaines mortelles, à Nîmes, un guet-apens fait aux sapeurs-pompiers et aux policiers à Béziers, des tirs de mortier sur un commissariat à Compiègne et un autre à Charleville-Mézières ciblant le maire, Boris Ravignon, des voitures détruites à Limoges, des affrontements à Vendôme : depuis mi-juillet, les événements violents se multiplient dans des quartiers populaires de plusieurs communes françaises. Des villes moyennes et hors des grands ensembles théâtres plus traditionnellement d’émeutes… comme c’était le cas pour celles du début d’été 2023.
L’ampleur de ces deux flambées de violence est cependant différente, puisque celle de 2023 avait concerné près de 500 communes. Les causes principales diffèrent aussi sans doute, puisqu’aujourd’hui, un lien avec le narcotrafic ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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