Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club RH

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club RH

Fonction publique territoriale

Les cadres territoriaux devant le RN, entre prudence et convictions

Publié le 20/06/2024 • Par La Rédaction • dans : France, Toute l'actu RH

Nuthawut - stock.adobe.com
Passé l’effet de sidération, les territoriaux régissent à la percée de l’extrême-droite et à une perspective d’arrivée du RN au pouvoir. L’inquiétude est là, mais l’heure n’est pas à l’indignation facile. Paroles de DGS et de cadres recueillies par La Lettre du cadre.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Passé l’effet de sidération, les territoriaux régissent à la percée de l’extrême-droite et à une perspective d’arrivée du RN au pouvoir. L’inquiétude est là, mais l’heure n’est pas à l’indignations facile. Paroles de DGS et de cadres.

Le coup de tonnerre des résultats des élections européennes du 9 juin et de l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République a touché les territoriaux, comme il a touché toute la société. Celles et ceux qui étaient déjà dans « la partie » à l’époque ne manqueront pas de faire le rapprochement avec la sidération qui avait vu Jean-Marie Le Pen dépasser les 25% en région PACA. La levée de bouclier contre les alliances entre la droite classique et le FN avait, alors, prouvé la vitalité du cordon sanitaire contre l’extrême-droite. La Lettre du Cadre, accompagnée de nombreux territoriaux, était alors monté au créneau pour défendre les valeurs républicaines et démocratiques.

Une telle mobilisation est-elle possible aujourd’hui ? Pas vraiment et pour plusieurs raisons.

Que se passerait-il ?

Au lendemain des élections européennes et de l’annonce des élections législatives, Arnaud Bontemps, fondateur et co-porte-parole du collectif Nos services publics posait la question dans un long post publié sur LinkedIn : « que se passerait-il pour les fonctionnaires si l’extrême-droite arrivait au pouvoir en France ? ». Ce qui paraissait théorique il y a encore quelques mois devient aujourd’hui une perspective des plus possibles, voire probable.

Pas d’affolement, pas de « la République en danger », pas de « No Pasaran »

Et, si on n’est pas dans le déni, il faut aborder quelques questions. Ça voudrait dire quoi être territorial sous un gouvernement d’extrême droite ? On le serait malgré le RN ? Sous le RN ? Comment continuerait-on à tracer sa voie avec les valeurs qu’on a défendues depuis qu’on a passé les concours ?  ?On fait quoi demain pour continuer à travailler dans « sa ligne » comme on le faisait avant ? Résistance, repli, attaque, neutralité, quelle attitude adopter ? et des questions plus pratiques : comment travailler à la transition écologique des territoires si on a un gouvernement qui y est hostile ? Comment maintenir un minimum de cohésion sociale sur son territoire ?

Ces questions, La Lettre du Cadre les a posées à des territoriales et des territoriaux dont elle connait l’engagement démocratique et républicain. Les réponses nous ont un peu déconcerté, mais elles témoignent de l’évolution de la société française depuis quelques décennies. En ce sens, il n’y a pas lieu de s’en étonner.

Éthique de responsabilité et pas de posture morale

La première remarque que l’on peut faire, c’est que nos DGS ne réagissent plus avec passion. Pas d’affolement, pas de « la République en danger », pas de « No Pasaran ». L’heure est à la gravité, mais avec recul. « Je ne vais pas me dissimuler derrière un manichéisme facile, dit une DGS, et encore moins agiter un épouvantail dont tout porte à craindre qu’il sera notre futur proche, mais sans savoir exactement de quel dangereux populisme il sera fait ». D’autre rappellent que la position du cadre territorial, même aujourd’hui, doit être une certaine neutralité et surtout, que les réactions épidermiques peuvent faire davantage de mal que de bien : ….

Thèmes abordés

shadow
Réagir à cet article
marche online

Aujourd'hui sur le Club RH

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Les cadres territoriaux devant le RN, entre prudence et convictions

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club RH

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement