L'Institut national du service public (INSP) connaîtra au 1ᵉʳ janvier 2024 une refonte de sa scolarité avant la réforme de ses concours d'entrée. Dans ce cadre, et à l'approche des entretiens territoriaux de Strasbourg (ETS), sa directrice, Maryvonne Le Brignonen, explique à La Gazette des communes sa vision du travail commun déjà à l’œuvre et à approfondir avec l'Institut national des études territoriales (Inet).
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Que répondez-vous à ceux qui évoquent une concurrence inavouée, mais persistante entre INSP et Inet ?
Les deux écoles montrent toutes deux qu’elles attirent, chacune pour leurs spécificités et débouchés, avec une recrudescence du nombre de candidats . De mon point de vue, il n’existe pas cette concurrence, mais au contraire une collaboration intense entre les deux établissements sur des sujets variés. Notre localisation commune à Strasbourg facilite cette coopération.
Le « tronc commun » de formation et les « prépas talents » visent le rapprochement des futurs cadres dirigeants de l’État et de la territoriale notamment. Où en est-on ?
Nous arrivons à la quatrième promotion qui bénéficie du tronc commun piloté par l’INSP mais qui ...
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« Notre réflexion commune sur l’évolution des concours doit se poursuivre »
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