Sidéré, il peine encore à y croire. Quand il regarde deux des trois écoles de sa ville détruites, le maire (DVD) de La Verrière (Yvelines, 6500 hab.) ne cache pas qu’il a « envie de fondre en larmes devant les enfants et les enseignants qui pleurent, des ATSEM sous le choc, mais il faut essayer de rester digne et parler d’avenir. »
Dans le quartier du Bois de l’Étang, en quartier prioritaire (QPV), « on avait des écoles près de la forêt, avec de super projets, où les familles demandaient à scolariser leur enfant : l’une est détruite à 80 % mais avec trois classes sécurisées et l’autre est moins endommagée mais devra être démolie. Une vitre du poste de police a été brisée, une maison de quartier « bien endommagée, mais les écoles c’est ce qu’il y a de pire, il faut gérer dans l’urgence 200 ...
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Gazette des Communes
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