Si l’école est le premier lieu de circulation et de reproduction des stéréotypes générateurs de sexisme, elle faillit à ses obligations en matière d’éducation à la sexualité. Moins de 15 % des élèves bénéficient de séances d’éducation à la sexualité pendant l’année scolaire à l’école et au lycée, alors que trois séances sont prévues par la loi, dénonce un rapport de l’inspection générale de l’éducation (1). Pour remédier à cela, les collectivités ont un rôle à jouer.
« Elles peuvent fournir des ressources, ou mettre à disposition des écoles, collèges et lycées, des acteurs associatifs pour engager des actions de prévention », conseille Frédéric Bouet, coordonnateur de l’Agora-MDA une structure multi-partenariale unique en France, portée à la fois par le Centre hospitalier de ...
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