C’est une bataille de responsabilités vieille de six ans qui refait surface aujourd’hui. Le procès de l’attentat de Nice du 14 Juillet 2016 qui se tient depuis septembre devant la cour d’assises spéciale de Paris ravive le débat sur le dispositif de sécurité mis en œuvre sur la promenade des Anglais le soir de l’attaque au camion bélier. Et sur la coordination entre Etat et municipalité en matière de sécurité.
Le maire de Nice Christian Estrosi – premier adjoint au moment des faits – et le député Philippe Pradal – maire à l’époque – sont venus témoigner au procès, jeudi 20 octobre. Les deux hommes sont entendus en tant que simples témoins, mais sont sous le statut de témoin assisté dans l’enquête toujours en cours sur le volet sécurité. Dix jours plus tôt, ce sont les représentants de ...
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