Pour quelles raisons ces ateliers « bien-être » ?
Alaric Berlureau : L’idée est que, si les agents sont bien dans leur peau, ils seront bien au travail. C’est un souhait du maire : conjuguer bien-être professionnel et personnel. Il est également nécessaire d’aller au-delà des strictes obligations réglementaires en matière de prévention des risques professionnels (document unique, etc.), car en plus des troubles musculosquelettiques qui demeurent importants, les risques psychosociaux ont pris de l’ampleur pendant l’épidémie de Covid-19 : les agents ont été soumis à beaucoup de stress, de contraintes. D’où une série d’ateliers qui associent la prévention et le bien-être. Les ateliers sur la sophrologie, la diététique, les troubles musculosquelettiques, sont ouverts à tous, librement ...
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Gazette des Communes