Ces deux stations de sports d’hiver n’ont, a priori, rien en commun hormis le fait d’être toutes deux en Isère… mais elles ont signé, le 15 janvier, une convention de partenariat. Le Col de Porte est situé à 1326 m d’altitude, dans le massif de la Chartreuse, tandis que le domaine skiable des Deux-Alpes culmine à 3600 m dans le massif des Ecrins. « Celui-ci fait 40 M€ de chiffre d’affaires contre 150 000 € pour nous, surenchérit Didier Bic, exploitant du Col de Porte. Nous n’avons pas non plus la même clientèle : elle est nationale et internationale pour les Deux Alpes, et familiale pour nous qui sommes à 20 minutes de Grenoble. Mais c’est justement pourquoi nous sommes complémentaires : les enfants prennent goût au ski au Col de Porte, puis, en grandissant, ils vont dans les grandes ...
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L'avenir des stations de sports d'hiver
Sommaire du dossier
- Transition : passer d’une station de ski à une station de montagne
 - Tignes reprend la main sur ses remontées mécaniques
 - Quand une petite et une grande station de ski s’entraident
 - À Val Thorens, un équipement neuf pour rester au sommet
 - En montagne, l’incontournable centre aquatique « toutes saisons »
 - Des stations de ski à énergies renouvelables
 - Entre suppression des remontées et poursuite du développement : des stations sur la ligne de crête
 - « La course au tout-ski est obsolète »
 - La Transjurassienne se diversifie pour moins dépendre des aléas climatiques
 - Structurer le ski de rando, dopé par la pandémie
 
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