Qui aurait pensé qu’accueillir 2 700 personnes dans un pays comme la France aurait posé problème ? « On se gargarise beaucoup, alors que le nombre est très faible au regard de la situation catastrophique en Afghanistan », estime Damien Carême, député européen (écologiste) et coprésident de l’Association nationale des villes et territoires accueillants (Anvita). S’il ne s’agit pas encore d’obstacles, on peut déjà évoquer des lenteurs d’autant plus incompréhensibles que la situation de ces personnes était marquée par l’urgence.
Le délai d’instruction arrive à son terme
Mi-août, lors de la prise de la capitale afghane par les talibans, une vingtaine de villes se sont portées volontaires pour leur offrir leur hospitalité, illustrant par là une tendance européenne et ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés