Se doter d’outils fiables afin de dresser un état des lieux précis et établir des préconisations. C’est l’objectif que s’est fixée l’Association nationale d’intervention sociale en commissariat et gendarmerie (ANISCG) en annonçant la création d’un observatoire national, vendredi 8 novembre.
L’instance, qui sera composée des directions centrales de la police et de la gendarmerie, de la Préfecture de police de Paris mais aussi de l’association France Victimes, du Centre National d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CNIDFF) ou encore de l’Assemblée des départements de France (ADF), permettra aussi d’asseoir le rôle de cette profession encore largement méconnue qui travaille auprès des victimes et des publics en difficultés psycho-sociales.
« Installer des intervenants ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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