En développement depuis les années 2000, les conseils locaux de santé mentale (CLSM) sont aujourd’hui environ 200. Ces instances communales ou intercommunales de concertation appuient leur fonctionnement sur un coordinateur, le plus souvent rattaché à une collectivité.
Un professionnel chargé d’animer un réseau d’acteurs aux habitudes de travail et aux intérêts potentiellement différents : de l’élu au psychiatre en passant par l’usager, le professionnel du secteur médicosocial ou le représentant de l’agence régionale de santé (ARS). Il s’agit de créer de la cohésion… tout en finesse.
« Nous faisons circuler les informations et traduisons si besoin le discours des uns afin qu’il soit compris par les autres. Nous devons réussir à adapter les contours des projets aux contraintes de chacun, qui ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Santé Social
Thèmes abordés