De très nombreux départs de feu ont lieu en zone urbanisée. Comment l’expliquer ?
« Cette proportion atteint 47 % dans les Bouches-du-Rhône. En région méditerranéenne, on a beaucoup construit à moins de 200 mètres de la végétation naturelle, dans ce que l’on appelle l’interface habitat-forêt. Le risque d’incendie y est important pour plusieurs raisons : la densité de population y est élevée, donc il y a plus de gens qui pratiquent des activités extérieures, susceptibles de mettre le feu. Les plantes des espaces verts et des jardins, dont certaines sont très inflammables, tel le cotonéaster, représentent une masse importante de combustible. Des aménagements comme les haies créent une continuité de combustible qui permet la propagation des flammes vers les ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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