On aurait donc mal compris ! Alors qu’une enquête auprès des présidents de communautés, présentée en ouverture de la dernière convention nationale (Lille, octobre 2014) de l’Assemblée des communautés de France (AdCF), semblait indiquer une faible appétence pour l’action sociale – 56 % des sondés indiquaient qu’ils ne souhaitaient pas voir transférer ces compétences à leur intercommunalité -, il fallait comprendre qu’ils refusaient la gestion des allocations nationales. « L’intercommunalité sociale n’a cessé de se développer, notamment depuis la loi de cohésion de 2006 », assure Nicolas Portier, délégué général de l’AdCF, tout en reconnaissant que la vigueur de ce mouvement est très variable d’un territoire à l’autre (de 1 à 26 CIAS selon les départements) et s’appuie sur des transferts de compétences parcellaires.
Projets de territoire
L’heure est venue d’harmoniser et de consolider ce développement. A cette fin ...
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