Si les élus locaux sont nombreux à déplorer les désagréments subis par l’organisation parfois « sauvage » de teknivals, les organisateurs de soirées clament pour leur part leur exaspération face à la répression qu’exercent les forces de l’ordre lors des festivals de musiques électroniques. Début décembre, à Rennes, les « sound systems » ont mené, sur la rocade de Rennes, une opération escargot remarquée avant de rassembler 15 000 « teufeurs » à Pont-Réan ; le 21 décembre, ils ont organisé une « free party » illégale dans le centre de Nantes.
C’est dans ce contexte que le ministère de l’Intérieur et le ministère des sports, de la jeunesse, de l’éducation populaire et de la vie associative ont rencontré le 5 février un collectif d’une quinzaine ...
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