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Accueil de la petite enfance : les élus naviguent à vue

Publié le 02/05/2012 • Par Michèle Foin • dans : A la une, Actu expert Education et Vie scolaire, Actu expert santé social, France

Le premier constat que dresse cette étude est le surprenant décalage entre le sentiment qu’ont les élus de bien connaître les besoins des familles, et le manque criant d’informations clés.
Le premier constat que dresse cette étude est le surprenant décalage entre le sentiment qu’ont les élus de bien connaître les besoins des familles, et le manque criant d’informations clés. Getty Images
La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) a interrogé 300 élus locaux sur leur vision de l’accueil de la petite enfance. Les résultats sont surprenants : si les élus sont persuadés de répondre aux besoins des familles, l’étude publiée le 30 avril 2012 révèle qu’ils ne prennent guère la peine de les étudier.

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La Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) a publié le 30 avril les résultats d’une enquête menée auprès de 300 élus communaux représentatifs des communes françaises, afin d’appréhender leur vision de l’accueil des jeunes enfants et d’évaluer les effets du contrat enfance jeunesse (CEJ) sur le développement de l’offre.

Le premier constat que dresse cette étude est le surprenant décalage entre le sentiment qu’ont les élus de bien connaître les besoins des familles, et le manque criant d’informations clés.
Ainsi, 82 % des élus interrogés déclarent avoir une bonne connaissance des besoins, alors que 44 % d’entre eux ne savent pas précisément combien d’enfants de moins de 3 ans vivent sur la commune.
De même, 70 % d’entre eux ne sont pas capables d’évaluer le nombre de ...

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Accueil de la petite enfance : les élus naviguent à vue

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ALIMAS1

04/05/2012 05h24

(09A495A01). QUEL EST LE QUESTIONNEMENT (QQOQC-CP) : QUOI ? QUI ? OÙ ? QUAND ? COMMENT ?-COMBIEN ? POURQUOI ? Si ce questionnement n’est pas clairement établi, pour l’élaboration du diagnostic et des dispositifs adéquats, pourquoi voudriez-vous que la Fonction Publique soit la seule à vouloir, savoir et pouvoir prendre en charge, l’accueil de la petite enfance (moins de 3 ans), alors que la cellule familiale, premier cercle social censé être le plus naturellement destiné à l’assumer, explose ?

Nous sommes en plein paradoxe et toujours dans l’éternelle équation : VOULOIR, SAVOIR et POUVOIR. Quand on veut, à la fois, être dans la rue et à la fenêtre en train de se regarder passer, forcément, on se heurte à des antagonismes, dualismes, anachronismes, etc. … Vouloir une chose et son contraire, c’est le grave paradoxe de notre société, dans tous les domaines.

La première démarche est, à mon sens, celle de reconsidérer les dispositifs de proximité pour l’aide et l’entraide sociale, qui pourraient prendre les relais, sans nécessairement se substituer aux familles. Nous disposons de 4 millions de personnes en recherche d’emplois et nous sommes incapables de trouver des solutions, acceptables par les uns et par les autres ! Nous sommes capables d’échanger nos appartements pour aller en vacances … mais incapables de nous entendre pour échanger et partager nos capacités et besoins du moment, sans grever nos budgets et ceux des collectivités.

Je me suis exprimé sur l’idée d’un dispositif que j’ai nommé : Je (SERS) : Solidarité, Équité et Réciprocité Sociale, pour équilibrer les fonds de distribution et de redistribution, en matières d’aides et d’entraides sociales. Je trouve fondamentalement injuste que l’on ne demande pas aux bénéficiaires d’aides et d’entraides sociales, de contreparties totales ou partielles, réelles ou différée de temps et ou d’argent, reçus par les collectivités.

Pour exemple, trouvez-vous qu’il y a égalité de traitement, quand le Conseil général d’un Département (actuellement en charge), demande le remboursement sur patrimoine, dès le premier euro, de la totalité des avances faites par le Département, pour couvrir les frais d’hébergement, de dépendance et d’hôtellerie des personnes dépendantes, et RIEN aux bénéficiaires des aides et entraides sociales ?

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