L’expérience menée par la ville de Marseille, signataire de la charte des Villes sans perturbateurs endocriniens, visait à sensibiliser de manière très concrète des agents et ainsi favoriser le changement d’habitudes et de pratiques. Les 50 volontaires étaient notamment des agents de terrain dans des écoles ou des structures pour la petite enfance car « les enfants sont les plus vulnérables aux effets des perturbateurs endocriniens », souligne Michèle Rubirola, première adjointe au maire de Marseille chargée de la santé.
Il s’agissait de personnels d’entretien et de restauration collective ou encore d’agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem). Quatre élus ainsi que des agents administratifs et des directeurs, notamment certains chargés des achats, ont aussi ...
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Gazette des Communes
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