Vous avez restitué les travaux sur le renouvellement du lien de confiance avec la population. Quels constats ont été dressés par les participants ?
Nous nous sommes efforcés de travailler sur la question de la police et de forces de l’ordre mais aussi sur celle des services publics, qui dans leur ensemble restaurent la confiance avec la population. Des difficultés ont été relevées. Un sentiment d’impuissance et de fatalisme face à ce qui est interprété par la population comme une forme d’impunité d’individus multi récidivistes.
Il y a également la disparition d’une forme de régulation sociale assurée par les anciens, les parents, les policiers, tous n’étant plus reconnus. Enfin, en termes de sécurité, le ressenti des habitants n’est pas toujours le même que celui des différents services ...
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