« Une politique publique de lutte contre la radicalisation qui serait ciblée sur une partie du territoire et de sa population serait porteuse d’une stigmatisation dangereuse pour la cohésion sociale », affirme l’IRDSU dans une note publiée le 2 mai.
L’association, qui représente les professionnels du développement social urbain, détaille le rôle et les objectifs de la politique de la ville contre les phénomènes de radicalisation. Elle rappelle que la lutte contre ces derniers ne doit pas être « vécue comme une défiance vis-à-vis des habitants des quartiers populaires ». Pour cela, elle doit donc être appréhendée « dans sa globalité et dans sa dimension multi-causale, à la fois individuelle et collective, dans laquelle ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés