Réunis à Lille au congrès de la Fédération nationale des centres de gestion, élus et dirigeants font part de leurs bonnes volontés pour maintenir leurs missions de service public. Mais dans l'attente de certains arbitrages de l’État et face à l'absence, parfois, de retours rapides des préfectures, ils prennent des décisions en autonomie. Or, la conscience du "risque" pris pourrait gripper l'action publique.
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A quoi ressemblera le service public en 2030 ? Bonne question ! Elle était posée par la FNCDG, en ouverture de son congrès à Lille, mercredi 4 juin. Les élus constatent en tout cas qu’on leur en demande toujours plus. Dans les allées de Lille Grand palais, l’expression de « self service public » revient d’ailleurs souvent pour montrer qu’un certain « ras-le-bol » prend le pas sur l’envie de servir l’intérêt général. Parce que les besoins des usagers s’accumulent et évoluent plus vite que le cadre réglementaire encadrant l’exercice des élus et des agents publics. Il est au point mort depuis plus d’un an.
Pour ce qui est des édiles, l’examen de la réforme du statut de l’élu local a une nouvelle ...
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Au congrès des centres de gestion, élus et dirigeants publics réclament le droit à l’erreur
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