La ville de Montluel a déjà expérimenté l’accueil, aux services techniques, de personnes condamnées à des heures de TIG. « Mais cela ne s’est pas très bien passé, car elles traînaient la patte, trouvant les tâches ingrates », rapporte Samuel Tiki Laperrière, responsable « politique de la ville ».
Aussi, en 2024, cet ancien surveillant pénitentiaire a eu l’idée d’expérimenter le croisement des objectifs de celle-ci avec ceux du TIG, avec un habitant d’un quartier prioritaire condamné à cette alternative à l’incarcération. Le poste dédié a été créé au sein du service « éducation-jeunesse », dont dépend la politique de la ville. « Cette fois, précise Samuel Tiki Laperrière, j’ai demandé au monsieur que la Justice nous envoyait ce qu’il pensait pouvoir nous apporter ». Sa réponse : « Faire ...
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