Selon la Fédération française de natation (FFN), il manquerait environ 5 000 MNS en France, pour pallier les besoins. Ces besoins se font plus criants lors de la saison estivale, avec les congés des permanents. Pour maintenir leurs bassins ouverts, les collectivités se mettent donc en quête de professionnels qui peuvent aussi être des jeunes titulaires d’un BNSSA, le brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique. Si le décret n° 2023-437 du 3 juin 2023, relatif à la surveillance des baignades d’accès payant, a semble-t-il apaisé certaines tensions en matière de recrutement, des collectivités peinent toujours à attirer des candidats.
Surveillance des bassins : des eaux en apparence plus apaisées, avant l’été…
S’adapter aux demandes
« Le champ est ultra-concurrentiel. Tout est ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Acteurs du sport
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club acteurs du sport pendant 15 jours
J’en profiteCet article fait partie du Dossier
Le manque de maîtres-nageurs sauveteurs
Sommaire du dossier
- Surveillance des bassins : des eaux en apparence plus apaisées, avant l’été…
- Gratuité d’accès des piscines pendant la canicule : des précautions à prendre
- Pénurie de maitres-nageurs : « je n’ai reçu aucune candidature pour un contrat de six mois »
- Piscines : les stratégies des collectivités pour recruter leurs saisonniers
- Les centres aquatiques peinent à recruter des maîtres-nageurs
- Les collectivités impliquées pour valoriser le métier de maître-nageur sauveteur
- Piscines publiques : quelles règles pour les cours particuliers ?
- « En finir avec l’image du maitre-nageur en tongs sur sa chaise »
- Des séances de natation scolaire massées, un jeu d’enfant ?
- Les piscines publiques, une fabrique à citoyens
- Les collectivités rament pour rattraper les retards d’apprentissage de la natation
Thèmes abordés