« Le droit aux loisirs dans leur globalité, est un droit qui ne va pas de soi. Penser loisirs et enfant, c’est tout à fait évident. Penser loisirs et droit, cela l’est moins », a estimé Claire Hédon, Défenseure des droits, lors de la conférence de presse qui a précédé la publication du rapport annuel, le 15 novembre. Elle a insisté d’emblée sur la consultation de 3800 enfants qui a nourri sa rédaction.
Une base juridique étoffée
Le droit aux loisirs est reconnu depuis longtemps. Le point 11 du préambule de la Constitution de 1946 stipule que la nation doit garantir aux enfants un droit « au repos et aux loisirs ». Au niveau international, la Déclaration des droits de l’enfant de 1959 reconnaît ce droit « de se livrer à des jeux et à des activités récréatives », qui est étayé par la ...
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