L’ordonnance rendue le 25 octobre par le TGI de Marseille n’entame pas la sérénité des services juridiques de la communauté urbaine de Marseille Métropole. Tout en ordonnant l’expulsion de 100 personnes vivant dans un campement précaire installé sur un trottoir, le juge a, dans ses attendus, dénoncé la responsabilité de la communauté urbaine dans les troubles occasionnés par cette situation de fait.
« Il n’est pas contestable que le trouble à l’ordre public est généré par l’impossibilité pour cette communauté de pouvoir s’implanter sur des terrains mis à leur dispositions par la municipalité ou la communauté urbaine. Les destructions des divers squats après expulsion des occupants, ne sert qu’à déplacer le problème…», remarque le juge.
Néanmoins, après avoir invité les parties à ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Éducation et vie scolaire
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Education et Vie scolaire pendant 15 jours
J’en profite