« La Stratégie pauvreté a eu le mérite de mettre sur le devant de la scène le sujet des jeunes majeurs sortant de l’Aide sociale à l’enfance. Il y a cinq ans, on n’en parlait pas. Aujourd’hui, ce public très fragile, qui concentre les difficultés, est au centre des préoccupations des départements et des acteurs associatifs », estime Marine Jeantet, déléguée interministérielle à la prévention et à la lutte contre la pauvreté (DIPLP).
En effet, l’un des objectifs de cette stratégie était de mettre fin à ce qu’on a appelé « les sorties sèches » de l’ASE, qui laissaient sans solution les jeunes une fois arrivés à leur majorité, et fatalement à la fin de la prise en charge par les départements.
La co-construction d’un référentiel
« L’un des points positifs de cette stratégie a été qu’elle a ...
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