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RESSOURCES HUMAINES

Boucler sa prospective de la masse salariale malgré une faible visibilité… Une prise de risques assumée !

Publié le 16/09/2021 • Par Isabelle Jarjaille • dans : Actu Emploi, France, Toute l'actu RH

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© peshkov-adobestock
La prospective de la masse salariale va se déployer durant les six années de mandat. Un travail lourd qui repose sur des hypothèses.

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En début d’année, la plupart des grandes collectivités avaient terminé leur prospective de masse salariale. Lancée à l’été 2020, une fois les nouveaux exécutifs installés, celle-ci va se déployer sur les six années de mandat, après plusieurs mois de travail intense mené par la direction des ressources humaines et les directions des pôles, sous le pilotage de la direction générale des services. Le chantier pouvait faire peur.

D’après une étude menée par la ville de Lyon avec l’Association des DRH des grandes collectivités (ADRHGCT) en 2016, seules 26 % des sondées avaient un cadrage à la fois sur la masse salariale et les effectifs.

Un effort primordial

La prospective faisait craindre une rigidification du rapport avec les pôles et l’interdiction de marges de manœuvre. Était privilégié un ...

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Boucler sa prospective de la masse salariale malgré une faible visibilité… Une prise de risques assumée !

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HERMES

17/09/2021 09h43

Ah la masse salariale, que d’articles qui se ressemblent depuis de nombreuses années!

On voit bien que les enjeux des mandats passent par une maîtrise de la masse salariale, et ce n’est pas seulement aujourd’hui qu’on le découvre… En fait les collectivités font la même chose que les entreprises dans ce domaine.
Mais pourrait-il en être autrement avec le nerf de la guerre?

Je souhaite attirer votre attention sur les difficultés actuelles de nombreuses collectivités de trouver de nouveaux collaborateurs, ce qui est déjà le cas depuis de nombreuses années pour les postes d’enseignants, sans que l’on est pris la mesure de cette défection.

Il me semble que la problématique est simple: quelle est l’être humain disposant de compétences avérées qui ne souhaite pas obtenir un salaire à la hauteur de ces dernières?
Jusqu’au milieu des années 1980, la valeur de l’indice du point augmentait du même taux que l’inflation. Puis on a mis en place des systèmes de calcul prenant en compte le glissement vieillesse technicité pour réduire cette progression. Après cette étape, on a tout simplement décidé de ne plus augmenter la valeur du point d’indice.

La loi étant ainsi, aucun fonctionnaire ne peut avoir un salaire inférieur à celui du SMIC. On a donc augmenté le nombre de points d’indice des premiers échelons des catégories C mais aussi D à l’époque pour respecter la loi. Par contre, les autres agents n’ont pas été concernés. Ainsi, les agents de catégories A et B ont vu les premiers indices de leur grade se rapprocher dangereusement de ceux des agents de catégorie C.
Mais les élus ont aussi entendu les demandes de ceux qui bénéficient des salaires les plus faibles. Donc pour compenser pour partie la désindexation des salaires sur l’inflation, ils ont attribué des points d’indice jusqu’à un certain niveau.

Les conséquences de ces choix sont bien entendu inévitables… comme le nerf de la guerre n’est pas à la hauteur des aspirations, surtout les moins compétents acceptent de prétendre à un poste dans la fonction publique. Cela explique la désaffection pour les postes d’enseignant ou dit autrement l’impossibilité de l’administration de pourvoir en totalité aux besoins.

On retrouve la même problématique pour les postes de haut niveau au sein des services de l’Etat. Pour cela depuis de nombreuses années, les grilles de salaire des catégories +++ ont progressé de manière significative. Mais les salaires restent encore très éloignés de ceux du privé pour ces hautes fonctions.
On a alors joué sur la NBI qui peut culminer à 250 points d’indice et sur les primes: le fameux RIFSEEP qui pour certaines fonctions culmine à des valeurs significatives.
Mais tout cela ne concerne en fait que peu de cadres. Les autres sont traités comme les autres agents de catégorie B.

Tout récemment, le gouvernement sous l’impulsion du Président de la République vient de décider de changer de paradigme.
Tous les emplois fonctionnels de l’Etat (attendons de voir ce qui en sera pour la territoriale et pour l’hospitalière) sortiront du cadre du statut de la fonction publique tel qu’il existe. En même temps, ces agents percevront des salaires à la hauteur de leurs prétentions. Mais ce sujet étant particulièrement délicat, je doute que les chiffres soient mis sur la table d’ici les prochaines échéances.

Si l’objectif est de mieux rémunérer les agents de catégorie C tout en contenant la masse salariale, il n’est pas nécessaire d’être devin pour imaginer ce qui va advenir pour les autres.

Ah la nostalgie des anciens!

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