Leur objectif : « réunir 100 villes dans ce club du RME d’ici à cinq ans », indique Jean Esmonin, le maire de Chenôve, où cette aide sociale, gérée par le CCAS, a vu le jour en 1989. Il a obtenu le soutien de l’association des maires ville et banlieue dont le président, Claude Dilain, s’est engagé à porter le dossier auprès de ses membres.
« La généralisation du RME ne peut pas passer par un dispositif figé qui serait pertinent partout, avertit Claude Dilain. Chaque commune doit trouver le dispositif qui lui semble le mieux adapté. »
420 euros par mois minimum – À Chenôve (15 500 habitants), 2 035 jeunes ont bénéficié du RME, depuis sa mise en place. En 2010-2011, 55 jeunes en ont bénéficié, qui ont touché en moyenne 1 400 euros par an. Le RME vise à leur assurer ...
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