Comme un appel d’air. Si, en 2018, déjà, 36 % des Français pratiquaient un sport dans la nature(1), le confinement a boosté la tendance. L’été dernier, les randonneurs ont envahi les sentiers des Alpes, les cyclistes, les chemins bretons… Il faut partager des sites de pratiques de plus en plus diversifiées, de la rando au char à voile, en passant par tous les sports d’eau, d’air et de terre. Des sites qui sont aussi des lieux de vie et de travail, des milieux parfois fragilisés. Comment suivre pour les collectivités, propriétaires ou gestionnaires ?
Au printemps 2020, le désengagement de la fédération française de la montagne et de l’escalade (FFME) de la gestion de 650 sites (suite à sa condamnation, confirmée en cassation l’an dernier, à régler plus de 1,6 million d’euros de ...
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Surfer sur la vague des sports de nature
Sommaire du dossier
- Sports de nature : pour un diagnostic territorial ultra précis
- Handicap : du prêt de matériel adapté pour favoriser la pratique des sports de nature
- Surfer, mais pas trop, sur la vague des sports de nature
- Sports de nature : co-construire la protection des aires marines protégées
- Sports de nature : des espaces, sites et itinéraires “en partage”
- La CDESI, outil favori des départements pour développer les sports de nature
- Les sentiers nautiques, sur la voie du développement local
- Les vagues artificielles à surf tentent le tournant écologique
- L’escalade au naturel au cœur de la ville
- En Loire-Atlantique, un développement maîtrisé du trail
- Quand les espaces naturels sont bien entretenus et les circuits balisés, les sportifs s’en donnent à cœur joie
Thèmes abordés