Neuf territoires passés au crible, une quinzaine de chercheurs mobilisés, plus de cent entretiens conduits… pour une immersion sportive au sein des aires marines protégées (AMP)(1). Autrement dit, des parcs nationaux, réserves naturelles, sites Natura 2000, réserve nationale de chasse ou et de faune sauvage ayant une partie maritime.
Autant de sites largement ouverts aux sports de loisirs et de nature, « pratiques qui ne sont pas sans effets sur le milieu », resitue Jean-Eudes Beuret, professeur à l’Institut Agro Rennes-Angers, en préface d’un ouvrage consacré à cette étude(2). A ses yeux, « les règles de l’AMP peuvent avoir aussi des effets sur les activités ». Encore faut-il qu’elles soient « connues, comprises et acceptées », d’autant plus quand il est question par exemple, de ...
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Surfer sur la vague des sports de nature
Sommaire du dossier
- Sports de nature : pour un diagnostic territorial ultra précis
- Handicap : du prêt de matériel adapté pour favoriser la pratique des sports de nature
- Surfer, mais pas trop, sur la vague des sports de nature
- Sports de nature : co-construire la protection des aires marines protégées
- Sports de nature : des espaces, sites et itinéraires “en partage”
- La CDESI, outil favori des départements pour développer les sports de nature
- Les sentiers nautiques, sur la voie du développement local
- Les vagues artificielles à surf tentent le tournant écologique
- L’escalade au naturel au cœur de la ville
- En Loire-Atlantique, un développement maîtrisé du trail
- Quand les espaces naturels sont bien entretenus et les circuits balisés, les sportifs s’en donnent à cœur joie
Thèmes abordés