momes-de-terre
Alors que les parents plébiscitent la nourriture « bio » à la cantine et que la loi en impose 20 % d'ici 2022, la durabilité et la qualité des repas ne vont pas systématiquement avec ces trois lettres.
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Cantines scolaires : une question de (bon) goût
La loi agriculture et alimentation vient d’être votée ce mardi 2 octobre à l’Assemblée nationale. Elle inscrit dans la loi le fait de proposer 20% de bio dans la restauration collective d’ici 2022. Au-delà, c’est 50% de la valeur d’achat des denrées qui devront être « durables », c’est-à-dire présenter des critères de qualité, de provenance locale, issues du commerce équitable ou d’une exploitation étant en conversion vers le bio, ou encore dans une démarche de haute valeur environnementale.
Les 20% de bio peuvent paraître modestes, par rapport à l’attente des ONG environnementales, des parents ...